Connu pour leur stupidité et leur jeune age surtout le Gang des petits Salopards, comme ils aiment se faire appeler, est dirigé par le petit Rowan un sale gosse mal éduqué dont les parents sont encore à déterminé parmi la grande population de traine-misères et autres individus aux yeux de verres et à la jambe de bois.
Leur petit délire du jour? Ramasser des cailloux dans les décombres de l'incendie et les lancer sur les passants. Les gamins sont tous les quatre en haut d'un amas de détritus et personne ne semble vouloir aller les déloger car tous craignent la pluie de cailloux ravageuse. Autant dire que ces sales garnements sont pour aujourd'hui la plus grande menace dans la cité de Paris.
TOUR 1
Ces sales mômes ne sont pas prêt de s'arrêter et c'est à vous d'intervenir le plus discrètement possible ou bien de façon intelligente pour pouvoir les stopper.
Notez qu'il vous faudra environ 3 tours pour atteindre les gamins sur leur monticule de débris. S'ils vous entendent ou bien qu'ils vous voient, autant dire que votre ascension risque d'être pour le moins compliquée.
Ces gamins se foutent bien des lois et de l'autorité, quand on parle de sale môme on ne déconne pas.
Conséquences
Si vous ne parvenez pas à stopper les gamins avant le Dimanche 9 septembre à 22h le Gang des petits Salopards aura gagné et les conséquences seront les suivantes:
Des points de réputations risque d'être perdu pour votre Caste/Famille si vous avez participé.
Les points de reconstruction du Quartier des Commerces baisseront.
D'autres conséquences éventuelles selon le RP.
Mais à l'inverse si vous réussissez les points récoltés seront probablement conséquents! N'ayez pas peur de participer de peur de perdre des points, ce serait un peu bête...
Un éclair brunâtre passa rapidement devant elle et lui arracha le jeune parisien de la gueule. Elle lâcha un hoquet de surprise en reconnaissant Theobald.
PASSE, lui cria-t-il.
Elle savait Fripouille en sécurité avec le bohémien, alors, elle pressa le pas. Emma descendit du monticule en boitillant mais elle s'en sortit mieux que ce qu'elle avait pensé. Yselde la suivit de près mais elle se fit blesser elle aussi par les débris qui lui ouvrirent le flanc.
Quand la garde se tourna pour remercier le chien de les avoir aidé, celui-ci était déjà partit de l'autre côté du monticule. Elle resta quelques secondes, pantoise, en ayant entre les crocs qu'un seul mot "Attends ...". Elle ne savait pas trop pourquoi elle voulait qu'il attende. Elle ne savait pas si elle voulait le remercier de l'avoir sauvé, ou bien, si elle voulait le capturer pour le faire exécuter. Avec son père. Une exécution entre père et fils, ça pouvait être sympa. Mais il était partit, et elle n'était certainement pas en état de courir après lui.
Elle regarda le jeune chien qui reprenait lui aussi ses esprit, tremblant sur place. En théorie, elle aurait dû l'arrêter. Sa mère, en tout cas, aurait voulu l'arrêter. Troubler l'ordre publique était une des nombreuses raisons d'une arrestations. Mais elle n'en fit rien, elle se contenta de lui dire d'une voix gentille :
- La prochaine fois, essayez de faire des jeux plus calme avec ta bande, d'accord ?
Elle savait pertinemment qu'il n'en ferait rien, mais ce n'était qu'un gamin. Un gosse terrifié qui ne recommencerai cependant pas de si tôt.
Elle se dirigea vers Yselde.
- Dame Yselde, vous êtes blessés, vous aussi. J'ai entraperçue Dame Odette de l'autre côté. Elle pourra certainement vous aider à rentrer chez vous. Quelques gouttes d'alcool et la plaie devrait être désinfectée. Vous avez été très courageuse, merci de votre aide. Veuillez m'excuser de ne pas vous ramener à votre domicile, mais je pense rentrer à la caserne pour soigner tout ça. Bonne journée.
Quelques gouttes d'alcool. C'était une bouteille entière qu'il faudrait à Emma pour désinfecter sa patte entière. Mais elle l'habitude. Elle se blessait si souvent qu'elle avait dû épuiser plus de bouteilles d'alcool qu'Alexandre de Montdargue. C'est dire.
Sans demander son reste, elle s'éloigna, boitillant. Elle remarqua qu'un des garnement était à terre, mais tout Paris semblait être à son chevet déjà. Elle entendit dire qu'il était blessé mais vivant. Déjà, quelques chiens s'affairaient à lui prodiguer de soins primaires.
Elle traça donc vers la caserne sans parler à personne, déçue certainement de ne pas avoir réussie à déloger 4 pauvres gamins sans accidents.